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Duché de Brocéliande :: Château de Trécesson - Demeure des Ducs de Brocéliande :: La cour du château
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Au soleil couchant...
Kurios Mer 23 Avr - 22:04
Le soleil couchant était au raz de l'horizon. Un ombre avancée majestueusement. le contre-jour caché le visage de l'homme, appuyé sur un bâton, mais il semblait habillé d'une bure qui voltigeait à chaque pas. La dignité de la posture, la souplesse du mouvement, la carrure athlétique était d'aussi bons indices que la gourde de chouchenn qui pendait sur le côté du voyageur. Oui c'était bien lui, Kurios le diacre de Kastell paol. Plus il avançait plus son apparence devenait perceptible. A le voir ion comprenait bien qu'il soit considéré (autoproclamé?) diacre le plus sexy de Bretagne! Toutes ces femmes qui ont du se sentir défaillir lorsqu'elles apprirent sa volonté de devenir prêtre. Enfin il n'était encore que diacre , elles avaient encore quelques temps de répits et l'espoir de le charmer pour qu'il abandonne cette idée saugrenue. Derrière lui semblait le suivre une petite boule de poil, c'était son chien Nem, un chien d'une race bien étrange qui jappait pour que kurios le remette dans la manche. Qu'il est mal habitué ce chien. Qu'il marche un peu ou il sera aussi atrophié que les bras de ce fainéant de Giliam.
Kurios avançait lentement, il était fourbu de cette longue route à pied. C'est pas avec ce qu'il gagne de toute manière qu'il risque de pouvoir se payer un cheval. Il s'arrêta , tira sur sa gourde quelques lampées et entrepris de faire les dix derniers mètres dans un élan de courage incroyable.
Oooooooooohééééééé ya quelqu'un dans cette forêt perdu? Ohhhhhhhééééééé
Kurios avançait lentement, il était fourbu de cette longue route à pied. C'est pas avec ce qu'il gagne de toute manière qu'il risque de pouvoir se payer un cheval. Il s'arrêta , tira sur sa gourde quelques lampées et entrepris de faire les dix derniers mètres dans un élan de courage incroyable.
Oooooooooohééééééé ya quelqu'un dans cette forêt perdu? Ohhhhhhhééééééé
Kurios- Vassal de Brocéliande
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Date d'inscription : 21/04/2008
Re: Au soleil couchant...
Bahia7 Jeu 24 Avr - 19:33
Bahia, alors qu'il buvait un verre avec Nobibe, entendit une voix qui ne lui était pas inconnue. Il regarda Nobibe et sortit, intrigué. Et là, il vit son diacre préféré, son ami arriver, Kurios. Quel bonheur de le voir venir ici. Il avait l'air épuisé.
Bahia descendit les quelques marches du chateau, s'approcha de lui, et lui dit:
Entre mon ami, on était justement en train de trinquer...
Bahia descendit les quelques marches du chateau, s'approcha de lui, et lui dit:
Entre mon ami, on était justement en train de trinquer...
Bahia7- Vassal de Brocéliande
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Date d'inscription : 08/02/2008
Re: Au soleil couchant...
Kurios Dim 27 Avr - 16:46
Le diacre sourit.
AAAAAhhh mon Bahia merci bien je suis fourbu un peu de chouchen me ferais pas de mal.
je te suis.
AAAAAhhh mon Bahia merci bien je suis fourbu un peu de chouchen me ferais pas de mal.
je te suis.
Kurios- Vassal de Brocéliande
- Messages : 721
Date d'inscription : 21/04/2008
Re: Au soleil couchant...
Lavatar Mer 17 Fév - 23:10
Lavatar de la Croix Rousse profita d’une longue pause bien méritée – il fallait avouer qu’il tournait un peu en rond sur les remparts de Rennes - pour aller faire un tour du côté du château de Broceliande…
Monseigneur le très chouchénique Kurios lui avait montré la voie, et c’est presque en aveugle qu’il fut ébloui par la magnificence du lieu….
Là, l’herbe était plus verte, le ciel encore plus azuré, et l’eau presque buvable.
Il suivit donc la route jusqu’aux premières marches du château, guidé par deux ou trois papillons qui batifolaient devant lui mais aussi par la forte odeur d’un délicieux breuvage que seuls certains connaisseurs pouvaient reconnaître à cette distance… et Lavatar avait les narines bien grandes…
Ne voyant personne à l’entrée, il descendit élégamment de son valeureux brison…
— Holaaaa, Typhon !!! Nous voici donc arrivés en ce lieu si mystérieux… Je ne sais ce que je trouverai derrière ces murs, mais il est sûr que ce ne saurait être pure banalité !
Il essaya de héler afin de prévenir le gardien , le jardinier ou quelque servante fort zélée de son arrivée, mais la veille avait été bien arrosée et chantée, ce qui fit qu’il finit par prendre son cor à deux mains et, tel un fameux carolingien, s’époumona dessus … ou plutôt dedans…
GROOOOOOOOOAAAAAAAAA ! GROOOOOOOOAAAAAAH !
Au bout d'une quinzaine de souffleries, il se dit que cela suffisait, rangea l’instrument et attacha son fier destrier à la barrière prévue à cet effet… Il observa avec émerveillement les alentours….
Tout n’était qu’harmonie et volupté… Il décida qu'il attendrait quelques temps encore puis, si personne n’avait la bienséance d’accueillir le géant, de visiter lui-même ces lieux féériques…
Monseigneur le très chouchénique Kurios lui avait montré la voie, et c’est presque en aveugle qu’il fut ébloui par la magnificence du lieu….
Là, l’herbe était plus verte, le ciel encore plus azuré, et l’eau presque buvable.
Il suivit donc la route jusqu’aux premières marches du château, guidé par deux ou trois papillons qui batifolaient devant lui mais aussi par la forte odeur d’un délicieux breuvage que seuls certains connaisseurs pouvaient reconnaître à cette distance… et Lavatar avait les narines bien grandes…
Ne voyant personne à l’entrée, il descendit élégamment de son valeureux brison…
— Holaaaa, Typhon !!! Nous voici donc arrivés en ce lieu si mystérieux… Je ne sais ce que je trouverai derrière ces murs, mais il est sûr que ce ne saurait être pure banalité !
Il essaya de héler afin de prévenir le gardien , le jardinier ou quelque servante fort zélée de son arrivée, mais la veille avait été bien arrosée et chantée, ce qui fit qu’il finit par prendre son cor à deux mains et, tel un fameux carolingien, s’époumona dessus … ou plutôt dedans…
GROOOOOOOOOAAAAAAAAA ! GROOOOOOOOAAAAAAH !
Au bout d'une quinzaine de souffleries, il se dit que cela suffisait, rangea l’instrument et attacha son fier destrier à la barrière prévue à cet effet… Il observa avec émerveillement les alentours….
Tout n’était qu’harmonie et volupté… Il décida qu'il attendrait quelques temps encore puis, si personne n’avait la bienséance d’accueillir le géant, de visiter lui-même ces lieux féériques…
Lavatar- Messages : 26
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Localisation : Vannes
Re: Au soleil couchant...
Maewenn Mer 17 Fév - 23:34
GROOOOOOOOOAAAAAAAAA ! GROOOOOOOOAAAAAAH !
Sursaut d'une demoiselle qui pensait trouver la sérénité ici. Pouarf, ca m'a l'air raté encore une fois tiens. Voix douce qui se fait entendre à l'interieur du chateau.
Eozen ? Qu'est ce donc que ce bruit sourd ?
Hum, quelqu'un est à la grille Princesse. Vous voulez que j'aille m'enquérir de lui ?
Fait il froid ? J'ai envie de prendre l'air.
Je vous accompagne Maitresse.
Merci Eozen.
Une cape posées sur ses frêles épaules et voila la jeune fille qui se dirige vers les jardins. Frisson lorsqu'elle met un pieds dehors. Arrivée à la grille, elle observe l'homme au cor et le salue.
Bonjour. Maewenn BAMie de Brignac, enchantée.
Que puis je faire pour vous aider ?
Eozen quelques pas derrière la demoiselle surveillait les faits et gestes des arrivants.
Sursaut d'une demoiselle qui pensait trouver la sérénité ici. Pouarf, ca m'a l'air raté encore une fois tiens. Voix douce qui se fait entendre à l'interieur du chateau.
Eozen ? Qu'est ce donc que ce bruit sourd ?
Hum, quelqu'un est à la grille Princesse. Vous voulez que j'aille m'enquérir de lui ?
Fait il froid ? J'ai envie de prendre l'air.
Je vous accompagne Maitresse.
Merci Eozen.
Une cape posées sur ses frêles épaules et voila la jeune fille qui se dirige vers les jardins. Frisson lorsqu'elle met un pieds dehors. Arrivée à la grille, elle observe l'homme au cor et le salue.
Bonjour. Maewenn BAMie de Brignac, enchantée.
Que puis je faire pour vous aider ?
Eozen quelques pas derrière la demoiselle surveillait les faits et gestes des arrivants.
Maewenn- Vassal de Brocéliande
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Re: Au soleil couchant...
Lavatar Jeu 18 Fév - 10:38
Lavatar vit arriver une charmante damoiselle accompagnée, semblait-il, d’un serviteur… Elle semblait souffrir de la froideur et il espérait qu’elle ne prendrait point de mal par sa faute…
Elle était jeune, d’une blancheur à ternir les étoiles du matin, et ses mains fines et fragiles s’aggrippaient à une sorte de mantel qui ne paraissait que peu la protéger de la morsure de la brise matinale…
Elle l’observait d’un œil critique et le port noble et affable de Lavatar parut la persuader de lui adresser la parole… la présence de l’homme à ses côtés, plus méfiant quant à lui, eut peut-être le même effet.
Une voix suave et cristalline tinta alors aux oreilles du grand dragon…
Bonjour. Maewenn BAMie de Brignac, enchantée.
Que puis je faire pour vous aider ?
Le chevalier s’inclina, et sans la quitter de son regard vif, répondit en tentant de maîtriser sa belle voix de baryton.
— Je vous salue, gente damoiselle, et suis moi-même enchanté par tant de grâce… Permettez-moi de me présenter… Je me nomme Lavatar de la Croix Rousse. J’arrive de Rennes où je suis en garnison, et profite d’une petite permission pour venir saluer Monseigneur Kurios…
Il s’était redressé en disant tout cela et laissa à la jeune fille le temps de réaliser à qui elle avait affaire…
— Il m’avait vanté avec emphase les splendeurs de ce lieu… mais il était bien en-dessous de la réalité… Les mots me manquent devant tant de beauté…
Lavatar se demanda si ces paroles à double sens n’étaient point trop osées , mais il se dit que ce n’était là que vérité et se permit donc de sourire de la façon la plus charmante qui soit.
— J’ai donc répondu à son invitation… je regrette toutefois d’avoir eu à vous déranger, mais je n’ai point trouvé de sonnette ni de garde, j’ai dû user des moyens du bord, forts bruyant quant à eux – gêné, il accrocha son cor à la selle de Typhon, et ajouta pour détendre l’atmosphère - … et vous avez eu de la chance que ma voix soit fatiguée, cela aurait pu être pire !
Il éclate alors d’un rire bon vivant et sonore, éclatant de sympathie…
— Bon, J’espère que Monseigneur Kurios est là , car il désirait me présenter à certaines personnes pour je ne sais exactement quelle mystérieuse raison. je sais juste que ce sont de fervents défenseurs de notre duché et pour ne serait-ce que cela, ils méritent déjà mon estime… Voir mantenant si je mérite le leur.
A nouveau, il marqua une pause… Lavatar avait la sotte habitude de trop parler, mais seulement lorsqu’il se sentait en bonne compagnie et en confiance.
Il attendit, tout sourire dehors… le froid commençait à le pénétrer par les pieds, malgré l’épaisseur de ses bottes…
Elle était jeune, d’une blancheur à ternir les étoiles du matin, et ses mains fines et fragiles s’aggrippaient à une sorte de mantel qui ne paraissait que peu la protéger de la morsure de la brise matinale…
Elle l’observait d’un œil critique et le port noble et affable de Lavatar parut la persuader de lui adresser la parole… la présence de l’homme à ses côtés, plus méfiant quant à lui, eut peut-être le même effet.
Une voix suave et cristalline tinta alors aux oreilles du grand dragon…
Bonjour. Maewenn BAMie de Brignac, enchantée.
Que puis je faire pour vous aider ?
Le chevalier s’inclina, et sans la quitter de son regard vif, répondit en tentant de maîtriser sa belle voix de baryton.
— Je vous salue, gente damoiselle, et suis moi-même enchanté par tant de grâce… Permettez-moi de me présenter… Je me nomme Lavatar de la Croix Rousse. J’arrive de Rennes où je suis en garnison, et profite d’une petite permission pour venir saluer Monseigneur Kurios…
Il s’était redressé en disant tout cela et laissa à la jeune fille le temps de réaliser à qui elle avait affaire…
— Il m’avait vanté avec emphase les splendeurs de ce lieu… mais il était bien en-dessous de la réalité… Les mots me manquent devant tant de beauté…
Lavatar se demanda si ces paroles à double sens n’étaient point trop osées , mais il se dit que ce n’était là que vérité et se permit donc de sourire de la façon la plus charmante qui soit.
— J’ai donc répondu à son invitation… je regrette toutefois d’avoir eu à vous déranger, mais je n’ai point trouvé de sonnette ni de garde, j’ai dû user des moyens du bord, forts bruyant quant à eux – gêné, il accrocha son cor à la selle de Typhon, et ajouta pour détendre l’atmosphère - … et vous avez eu de la chance que ma voix soit fatiguée, cela aurait pu être pire !
Il éclate alors d’un rire bon vivant et sonore, éclatant de sympathie…
— Bon, J’espère que Monseigneur Kurios est là , car il désirait me présenter à certaines personnes pour je ne sais exactement quelle mystérieuse raison. je sais juste que ce sont de fervents défenseurs de notre duché et pour ne serait-ce que cela, ils méritent déjà mon estime… Voir mantenant si je mérite le leur.
A nouveau, il marqua une pause… Lavatar avait la sotte habitude de trop parler, mais seulement lorsqu’il se sentait en bonne compagnie et en confiance.
Il attendit, tout sourire dehors… le froid commençait à le pénétrer par les pieds, malgré l’épaisseur de ses bottes…
Lavatar- Messages : 26
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Localisation : Vannes
Re: Au soleil couchant...
Maewenn Jeu 18 Fév - 12:32
L'homme la salua puis se présenta. A l'annonce de son nom, la jeune demoiselle sourit. C'était donc lui qui avait échangé tant de courriers avec son oncle. Mais qu'il était bavard. Pourtant en bonne demoiselle bien élevée elle écoutait sagement. Hochant la tete par ci par la. S'interrogeant parfois sur ses phrases. Serait il en train de la complimenter ou son esprit de jeune fille se fourvoyait il ? D'une oreille discrete et se perdant quelque peu dans ses pensées, elle l'écoutait parler. Après tout, il avait une voix qui la bercait. Lorsqu'il fit enfin une pause, elle reprit conscience. Un léger frisson la parcourue.
Hum, en effet, mon oncle Kurios doit être quelque part dans le chateau et je pense faire partie de ces personnes a qui il souhaitait vous présenter.
Léger sourire sur ses lèvres.
Hum vous voulez bien me suivre ? Nous allons rentrer au chaud.
Puis s'adressant à son garde.
Eozen, allez prévenir mon oncle que messire de la Croix Rousse demande à le voir. Nous serons au salon.
S'inclinant.
Bien damoiselle.
Se tournant vers Lavatar.
Allons y messire si vous êtes pret.
Hum, en effet, mon oncle Kurios doit être quelque part dans le chateau et je pense faire partie de ces personnes a qui il souhaitait vous présenter.
Léger sourire sur ses lèvres.
Hum vous voulez bien me suivre ? Nous allons rentrer au chaud.
Puis s'adressant à son garde.
Eozen, allez prévenir mon oncle que messire de la Croix Rousse demande à le voir. Nous serons au salon.
S'inclinant.
Bien damoiselle.
Se tournant vers Lavatar.
Allons y messire si vous êtes pret.
Maewenn- Vassal de Brocéliande
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Re: Au soleil couchant...
Lavatar Ven 19 Fév - 17:03
— Alors, nous voilà présentés, ajouta Lavatar, une bonne chose de faite... et j'en suis fort aise...
Grand sourire sur les lèvres du dragon.
Léger sourire sur les lèvres de Maewenn.
Hum vous voulez bien me suivre ? Nous allons rentrer au chaud.
Lavatar n'attendait que cela ... Il avait peur que la jeune damoiselle ne se congestionne ou pire, ne prenne une fluxion de poitrine... Il lui laissa donner consignes à son ange gardien...Ne sachant que faire de son cheval, il le détacha donc de la barrière et marcha en le tenant par la longe au côté de la charmante nièce de Kurios...
— hummm... Pourriez-vous demander à votre serviteur s'il peut mener mon frison ici-présent aux écuries ? Il sait bien se tenir mais je doute qu'il puisse passer par la porte , il a un peu engrossé dernièrement... Au fait, je ne ai pas présentés, Typhon, voici dame Maewenn BAMie de Brignac... Sois poli, c'est la nièce de monseigneur..
Le destrier hennit gentiment et fit mine de saluer de la tête...
Elle était bien agréable, cette allée qui menait au château, même en cette saison hivernale... La compagnie de Maewenn l'était tout autant... Il tenta donc de mener la conversation, histoire d'empêcher les mâchoires de la damoiselle de geler et d'entendre à nouveau cette voix aussi plaisante qu'un chant de mésange... Il aimait son sourire... aussi léger fusse-t-il...
— Ainsi donc, ce château appartient à votre oncle ? Il est bien grand... Combien de personnes y logent ? Ce parc me semble aussi sans fin !..etc...etc...
C'est ainsi qu'ils arrivèrent, souriants et sous une avalanche de mots fort anodins mais sympathiques, au salon....
[ la suite au salon
)
Grand sourire sur les lèvres du dragon.
Léger sourire sur les lèvres de Maewenn.
Hum vous voulez bien me suivre ? Nous allons rentrer au chaud.
Lavatar n'attendait que cela ... Il avait peur que la jeune damoiselle ne se congestionne ou pire, ne prenne une fluxion de poitrine... Il lui laissa donner consignes à son ange gardien...Ne sachant que faire de son cheval, il le détacha donc de la barrière et marcha en le tenant par la longe au côté de la charmante nièce de Kurios...
— hummm... Pourriez-vous demander à votre serviteur s'il peut mener mon frison ici-présent aux écuries ? Il sait bien se tenir mais je doute qu'il puisse passer par la porte , il a un peu engrossé dernièrement... Au fait, je ne ai pas présentés, Typhon, voici dame Maewenn BAMie de Brignac... Sois poli, c'est la nièce de monseigneur..
Le destrier hennit gentiment et fit mine de saluer de la tête...
Elle était bien agréable, cette allée qui menait au château, même en cette saison hivernale... La compagnie de Maewenn l'était tout autant... Il tenta donc de mener la conversation, histoire d'empêcher les mâchoires de la damoiselle de geler et d'entendre à nouveau cette voix aussi plaisante qu'un chant de mésange... Il aimait son sourire... aussi léger fusse-t-il...
— Ainsi donc, ce château appartient à votre oncle ? Il est bien grand... Combien de personnes y logent ? Ce parc me semble aussi sans fin !..etc...etc...
C'est ainsi qu'ils arrivèrent, souriants et sous une avalanche de mots fort anodins mais sympathiques, au salon....
[ la suite au salon
)Dernière édition par Lavatar le Sam 20 Fév - 15:04, édité 1 fois
Lavatar- Messages : 26
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Re: Au soleil couchant...
Maewenn Ven 19 Fév - 20:46
Présentation à son cheval. Elle hausse un sourcil la demoiselle. Aurait elle trouver plus timbrée qu'elle ? Elle sourit, baissant quelque peu ses défenses naturelles. Hochement de tete vers ledit cheval.
Enchantée Typhon.
Puis se retournant vers Lavatar.
Mademoiselle messire, mademoiselle.
En remontant l'allée, un palfrenier vint tout naturellement à leur rencontre. Elle le chargea de prendre soin du cheval, ce qu'il s'empressa de faire. Plus ils avancaient vers le chateau, plus le froid la tenaillait. L'homme entama une conversation. La demoiselle ne put s'empecher d'éclater de rire à ses paroles. Puis le regardant, un large sourire aux lèvres.
Hum messire, j'ai bien peur que vous vous fourvoyez. Ce chateau n'appartient nullement à mon oncle. Pour Loyat, il faut encore aller un peu plus loin. Ici vous êtes sur les terres de feu mon parrain.
Un voile de tristesse traversa ses yeux puis elle se reprit.
Hum, enfin actuellement c'est le duché de son Altesse Riwan Nathan de Brocéliande. Petit fils de feu mon parrain. J'y ai longtemps habitée, depuis très jeune pour être exacte mais maintenant je n'y ai plus ma place. Et à part le duc et sa suite, personne n'a ses quartiers ici, il me semble.
Alors qu'ils discutaient, le chateau s'était rapproché. Le rouge lui monta aux joues lorsqu'elle y pénétra. A l'entrée des suivantes s'occupèrent de récupérer leurs affaires. Une fois au salon, elle lui proposa de s'asseoir puis fit servir à boire pendant qu'elle se réchauffait auprès du feu.
Enchantée Typhon.
Puis se retournant vers Lavatar.
Mademoiselle messire, mademoiselle.
En remontant l'allée, un palfrenier vint tout naturellement à leur rencontre. Elle le chargea de prendre soin du cheval, ce qu'il s'empressa de faire. Plus ils avancaient vers le chateau, plus le froid la tenaillait. L'homme entama une conversation. La demoiselle ne put s'empecher d'éclater de rire à ses paroles. Puis le regardant, un large sourire aux lèvres.
Hum messire, j'ai bien peur que vous vous fourvoyez. Ce chateau n'appartient nullement à mon oncle. Pour Loyat, il faut encore aller un peu plus loin. Ici vous êtes sur les terres de feu mon parrain.
Un voile de tristesse traversa ses yeux puis elle se reprit.
Hum, enfin actuellement c'est le duché de son Altesse Riwan Nathan de Brocéliande. Petit fils de feu mon parrain. J'y ai longtemps habitée, depuis très jeune pour être exacte mais maintenant je n'y ai plus ma place. Et à part le duc et sa suite, personne n'a ses quartiers ici, il me semble.
Alors qu'ils discutaient, le chateau s'était rapproché. Le rouge lui monta aux joues lorsqu'elle y pénétra. A l'entrée des suivantes s'occupèrent de récupérer leurs affaires. Une fois au salon, elle lui proposa de s'asseoir puis fit servir à boire pendant qu'elle se réchauffait auprès du feu.
Maewenn- Vassal de Brocéliande
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Re: Au soleil couchant...
Kurios Dim 21 Fév - 17:22
Eozen courrait partout dans le château pour trouver le bon prélat qui devait sans doute prier dans un lieu saint ou bien encore lire intensément dans la bibliothèque du Duc de Broc joyaux de ce côté ci de la forêt.
Il soufflait fort. il n'arrivait pas à retrouver le saint homme. Il avait cherché partout.. partout où l'on devait trouver un homme d'église aussi cultivé et pieux, aussi fort et beau, aussi... bref un homme comme lui.
Le domestique était tellement essoufflé qu'il décida de se rendre aux cuisines pour se désaltéré... Peut être aurait-il dû faire cela en premier lieu.
Il passa dans le couloir prêt d'un gros sac en bure sans doute remplis de légumes. Alors qu'il buvait un coup d'eau ne trouvant plus de chouchen, il entendit un bruit sourd qu'il n'avait pas remarqué jusqu'à maintenant. Son souffle était tellement fort, ses oreilles tellement bourdonnant par la pression sanguine de la course qu'il n'avait pas fait attention.
Il se laissa guider, en arrière, par le bruit, dans le couloir où il était plus fort. Il ne voyait rien... il ne comprenait pas.
D'où pouvez provenir ce bruit. Ce ronflement léger mais néanmoins bien désagréable. Il ne prêta pas attention de suite au sac de légumes qui bougeait légèrement.
Soudainement, faisant sursauter le domestique comme une pucelle devant l'énorme serpent du duc, le sac remua comme possédé par un fantôme.
Eozen pas rassuré s'approcha doucement et releva un peu le tissu qui s'avérait être en fait la capuche de l'évêque.
L'évêque était bien là, sur le sol, couché auprès de plusieurs cruches de chouchen vides. Il ronflait tranquillement sans doute bien imbibé par le miel fermenté qu'il venait d'ingurgité.
Eozen posa sa main sur l'épaule du prélat et en le secouant:
Monseigneur... Monseigneur... reveillez vous Monseigneur.
Huuuuuuuuuugrouampf
Monseigneur c'est Eozen... il faut que je vous conduise...
Muuuuummhhe grouamp voisine... voisine est-ce que j'ai l'air d'être votre voi.....
se tourna et:
rooooooooooooon
mais non monseigneur c'est Eozen pas votre voisine, un homme vous attends au salon...
M'en fout des hommes...
Monseigneur un homme saint comme vous vous foutre des hommes?
Se relève les yeux à moitié fermés.
Tu as décidé de m'emmerder toi aujourd'hui...
Monseigneur?
Le domestique regardait les yeux grand ouvert le prélat surpris de sa véhémence mais c'est qu'un dérange pas un ours qui dort...
Je ne m'intéresse pas aux hommes, surtout que je suis un évêque ce n'est pas kascher de fricoter avec des hommes et tu ne devrais pas non plus!
Mais monseigneur ce n'est pas du tout ça! C'est juste Messire Lavatar un de vos invité qui est arrivé..
Oh? et tu pas le dire plus tôt non?
Dis lui de m'attendre que je finisse ma sieste!
Mais...
L'évêque fit un geste de la main pour lui dire de disposer et se recoucha.
Bon bien Monseigneur je dirai à damoiselle Maewenn de rester encore avec lui...
Ouai ouai...
Quoi?
L'évêque se leva d'un bond.
Mais t'es pas malade. le laisser seul avec elle!
j'espère pour toi qu'il sera récupérable
Il couru de toute se forces pour rejoindre le salon
Il soufflait fort. il n'arrivait pas à retrouver le saint homme. Il avait cherché partout.. partout où l'on devait trouver un homme d'église aussi cultivé et pieux, aussi fort et beau, aussi... bref un homme comme lui.
Le domestique était tellement essoufflé qu'il décida de se rendre aux cuisines pour se désaltéré... Peut être aurait-il dû faire cela en premier lieu.
Il passa dans le couloir prêt d'un gros sac en bure sans doute remplis de légumes. Alors qu'il buvait un coup d'eau ne trouvant plus de chouchen, il entendit un bruit sourd qu'il n'avait pas remarqué jusqu'à maintenant. Son souffle était tellement fort, ses oreilles tellement bourdonnant par la pression sanguine de la course qu'il n'avait pas fait attention.
Il se laissa guider, en arrière, par le bruit, dans le couloir où il était plus fort. Il ne voyait rien... il ne comprenait pas.
D'où pouvez provenir ce bruit. Ce ronflement léger mais néanmoins bien désagréable. Il ne prêta pas attention de suite au sac de légumes qui bougeait légèrement.
Soudainement, faisant sursauter le domestique comme une pucelle devant l'énorme serpent du duc, le sac remua comme possédé par un fantôme.
Eozen pas rassuré s'approcha doucement et releva un peu le tissu qui s'avérait être en fait la capuche de l'évêque.
L'évêque était bien là, sur le sol, couché auprès de plusieurs cruches de chouchen vides. Il ronflait tranquillement sans doute bien imbibé par le miel fermenté qu'il venait d'ingurgité.
Eozen posa sa main sur l'épaule du prélat et en le secouant:
Monseigneur... Monseigneur... reveillez vous Monseigneur.
Huuuuuuuuuugrouampf
Monseigneur c'est Eozen... il faut que je vous conduise...
Muuuuummhhe grouamp voisine... voisine est-ce que j'ai l'air d'être votre voi.....
se tourna et:
rooooooooooooon
mais non monseigneur c'est Eozen pas votre voisine, un homme vous attends au salon...
M'en fout des hommes...
Monseigneur un homme saint comme vous vous foutre des hommes?
Se relève les yeux à moitié fermés.
Tu as décidé de m'emmerder toi aujourd'hui...
Monseigneur?
Le domestique regardait les yeux grand ouvert le prélat surpris de sa véhémence mais c'est qu'un dérange pas un ours qui dort...
Je ne m'intéresse pas aux hommes, surtout que je suis un évêque ce n'est pas kascher de fricoter avec des hommes et tu ne devrais pas non plus!
Mais monseigneur ce n'est pas du tout ça! C'est juste Messire Lavatar un de vos invité qui est arrivé..
Oh? et tu pas le dire plus tôt non?
Dis lui de m'attendre que je finisse ma sieste!
Mais...
L'évêque fit un geste de la main pour lui dire de disposer et se recoucha.
Bon bien Monseigneur je dirai à damoiselle Maewenn de rester encore avec lui...
Ouai ouai...
Quoi?
L'évêque se leva d'un bond.
Mais t'es pas malade. le laisser seul avec elle!
j'espère pour toi qu'il sera récupérable
Il couru de toute se forces pour rejoindre le salon
Kurios- Vassal de Brocéliande
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